Comment le véganisme m’a amenée au zéro déchet [+INFOGRAPHIE]

Je voudrais aujourd’hui aborder un thème qui me tient à cœur mais que j’évoque peu : celui du zéro déchet. De fait, même si mon blog se focalise principalement sur l’éthique animale, le zéro déchet y est selon moi un thème qui lui est étroitement associé, et c’est cette idée que j’aimerais développer dans cet article.

La première fois que j’ai vu ce terme « zéro déchet », j’ai pensé qu’il faisait référence à des personnes qui ne produisent littéralement aucun déchet. Ces personnes forçaient mon admiration, mais j’en étais bien loin, et ne me suis pas intéressée plus que ça au sujet, à ce moment là. Ce n’est que des mois plus tard, au fil de lectures sur le sujet, que j’ai compris que le zéro déchet n’était pas une palme qu’on décernait à ceux et celles qui arrivent à ne produire qu’un bocal de déchets par an, mais faisait référence à une démarche graduelle de réduction de ses déchets. Et là, une petite ampoule s’est allumée dans mon cerveau : « ah mais c’est déjà ce que je fais ! »

 

Ma démarche vers le zéro déchet

Je ne vous ferais pas ici un article sur le pourquoi et le comment du zéro déchet, d’autres l’ont déjà fait bien mieux que moi, et vous trouverez en fin d’articles des ressources si vous souhaitez approfondir le sujet. Je soulignerais simplement qu’il existe une multitudes de raisons de s’intéresser au zéro déchet : santé, gestion budgétaire, conscience environnementale… En ce qui me concerne, j’ai du mal à identifier une raison précise m’ayant initiée au zéro déchet. Les choses se sont faites petit à petit, sans que je n’en ai vraiment conscience.

  • J’ai commencé à fabriquer quelques produits d’entretien (à savoir lessive, spray nettoyants, etc.) par souci d’éthique animale et minimalisme. Fabriquer mes propres produits me permettait ainsi de désencombrer mes placards tout en m’apportait l’assurance qu’ils n’avaient pas été testés sur des animaux.
  • Je suis passée à des cosmétiques solides (shampoing, savon, dentifrice) de marques engagées et labélisées véganes et cruelty-free car j’étais séduite par le concept du sans-emballage, et que la liste d’ingrédient courte et composée de produits naturels m’inspirait bien davantage confiance que celle à rallonge d’un produit lambda du supermarché, même végane.
  • Je suis ensuite passée à la coupe menstruelle car j’étais de moins en moins à l’aise avec l’idée d’être responsable de 10 000 tampons que j’utiliserais au cours de ma vie et dont je n’ai aucune idée d’où ils finiront.

Bref, l’idée n’est pas de lister ici toutes les choses qui j’ai changé dans ma consommation, mais de souligner que tous ces petits pas se sont fait progressivement depuis deux ans, et non dans le cadre d’une démarche affirmée et revendiquée comme zéro déchet.

 

Zéro déchet et véganisme : deux manières de mieux respecter le vivant

Cependant, les choses ont un peu changé lorsque j’ai pris conscience de l’impact si néfaste que le plastique avait sur la vie marine. Saviez-vous par exemple qu’au rythme où vont les choses, il y aura en 2050 plus de plastique que de poissons dans les océans (en poids) [1]? Que nos déchets plastiques tuent chaque année 1,5 million d’animaux[2], principalement à cause de leur ingestion ? Ou encore que dans les océans, aux endroits où les courants se rejoignent, des microparticules de plastiques s’agglomèrent sur des surfaces équivalentes à des continents appelés « 7ème continents » ? La plus grande de ces zones atteint aujourd’hui 3,5 millions de kilomètres carrés, l’équivalent de sept fois la superficie de la France. [3]

 

Ca fait beaucoup de chiffres à retenir, alors #PassionInfographie oblige, cela devrait vous permettre de mieux garder ces infos en tête. Vous pouvez aussi la télécharger ici.

Ces chiffres ont pour moi été de véritables electrochocs. Le zéro déchet m’est alors apparu clairement comme la continuité du véganisme, comme une manière d’aller plus loin dans ma démarche de respect du vivant et d’avoir un mode de vie qui soit le moins néfaste possible pour la planète et ses habitant.es (humain.es et non-humain.es).

Bien sûr, le véganisme est davantage lié à l’éthique animale, et le zéro déchet à l’écologie, mais j’ai du mal à concevoir comment on peut dissocier les deux, alors qu’ils m’apparaissent davantage comme les deux faces d’une même pièce. Un végane qui consomme de l’huile de palme fréquemment car c’est végétalien sans se soucier de l’impact que la déforestation a sur l’écosystème manque selon moi autant de discernement que l’écolo qui se déplace en bicyclette et prend des douches courtes mais continue de manger de la viande tous les jours. Je trouve que cela n’a pas de sens : il s’agit de respecter la planète et les individus qu’elle abrite.

 

Personnellement, j’ai choisi de devenir végane par compassion, quand j’ai compris que l’exploitation animale n’était absolument pas nécessaire à ma survie. Et pourtant, en consommant du plastique, je participe à l’effet dévastateur que celui-ci a sur la faune marine. Il y a comme un paradoxe. A chaque fois que je jette un emballage à la poubelle, j’ai comme une petite voix dans ma tête: ce morceau de plastique va-t-il finir ingéré par un poisson ? Cette paille va-t-elle finir dans la narine d’une tortue ?

Quid du recyclage me direz-vous ? Dans le livre « Famille presque Zéro Déchet : Ze Guide », j’ai appris que seuls 7% des déchets plastiques sont recyclés (et ce qu’une seule fois, le plastique n’étant pas recyclable à l’infini, à contrario du verre). Les 93% restants finissent donc dans des décharges, incinérés ou dans l’océan. Aucune de ces trois solutions n’est idéale pour l’environnement.

A partir de ce moment-là, ma démarche vers le zéro déchet est devenue plus proactive, consciente et systématique afin de réduire au plus possible mes déchets, plastiques en tête. Comprenons-nous bien : je suis pas du tout une référence en matière de zéro déchet, mais rien qu’en adoptant des gestes simples, j’ai pu réduire considérablement mes déchets. J’ai par exemple toujours une gourde et un sac en toile avec moi pour éviter les bouteilles et sacs plastiques jetables. J’achète au maximum en vrac et évite l’achat de produits gourmands en emballage que j’ai pu acheter par le passé l’esprit tranquille car après tout « c’était végane » …

 

Par où commencer?

Bref, je ne sais pas si je serais un jour complètement zéro déchet (probablement pas d’ailleurs), mais ce que je sais en revanche, c’est que j’ai une énorme marge de progression devant moi. Et que chaque pas en plus ne me demande pas tant d’efforts que cela, mais additionné à des centaines ou milliers de personnes, cela peut faire une énorme différence pour la planète.

Et parce que je n’aime pas finir un article de ce genre sans invitation concrète à passer à l’action, voici un récap des 5 principes pour réduire ses déchets. Pas besoin de tout faire d’un coup, allez-y à votre rythme. Vous pouvez aussi télécharger ce guide pratique de Consommer Sainement.

 

N’hésitez pas non plus à me dire en commentaire si vous aussi vous vous intéressez au zéro déchet, et si mes propos résonnent en vous.

[bctt tweet= »INFOGRAPHIE: Chaque année, nos déchets plastiques tuent 1,5 million d’animaux marins. Le #ZéroDéchet est-il la suite logique du véganisme? » username= »Madame_Carotte »]

Quelques ressources pour aller plus loin:

Etant moi-même en cheminement sur la route du zéro déchet, je suis loin d’être une experte en la matière. Je partage donc avec vous des ressources qui m’aident dans mon cheminement:

 

Sources:

[1] World Economic Forum | The New Plastics Economy Rethinking the future of plastics

[2] LeFigaro | Les déchets plastiques tuent 1,5 million d’animaux par an

[3] LeFigaro | Les déchets plastiques tuent 1,5 million d’animaux par an

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33 Comments

  1. 1

    Coucou Carotte. Oui, ton article me parle tout à fait et à la maison, nous débutons dans cette philosophie. Je suis d’accord acec toi, cette vision complète le véganisme. Merci pour tes conseils 😉

    • 2

      Merci Corinne ! C’est super de lire que ta famille débute aussi dans cette démarche, in fine je m’en faisais toute une montagne, mais c’est comme pour beaucoup de choses: c’est venu petit à petit et très facilement! J’espère que les ressources indiquées en fin de l’article pourront t’être utiles dans ta démarche 🙂
      Aurélia

  2. 3

    Je te remercie pour le lien vers mon blog. Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à l’écologie de près, je suis immédiatement tombé sur des articles concernant les problèmes liés aux déchets et au plastique en particulier. Comme toi, j’étais sidérée d’apprendre combien ce matériau était polluant et qu’il n’était en réalité pas ou rarement recyclé… Je comprends qu’il soit encore difficile de s’en passer complètement mais je ne comprends pas qu’on n’ait pas encore complètement banni les sacs, les pailles et les bouteilles en plastiques… à travers le monde ! Cela me désole vraiment. En tous cas, tes infographies sont géniales et je te souhaite bonne continuation dans ton cheminement vers le zéro déchet et le zéro plastique 🙂

    • 4

      Merci Natasha pour ton commentaire et toutes tes petites graines vertes 🙂 Ca m’horripile aussi de voir des bouteilles plastiques, je n’arrive même pas à convaincre ma mère de boire de l’eau du robinet, elle est persuadée qu’elle n’est pas de bonne qualité… il y a vraiment du boulot !

      • 5

        La mienne fait pareil… elle empêche même les invité.e.s d’en boire ! J’aurai du lui acheter des charbons filtrants à Noël tiens.

  3. 6

    C’est vrai que zéro déchet et véganisme sont liés, car le véganisme est proche de l’écologie et du bien être humain et animal. Or polluer entraîne des conséquences mortelles sur l’humain, les animaux et la nature. Tout est lié et pourtant c’est instinctif quand on s’intéresse au véganisme ou au zéro déchet.
    Pourtant ça semble plus simple dans le sens véganisme –> zéro déchet que zéro déchet–> véganisme hélas !

    • 7
      • 8

        Un peu tardivement, je peux confirmer que oui, il est possible de faire zéro déchet -> véganisme. Je me sentais très concernée par les problématiques environnementales depuis des années: j’ai mis mes enfants en couches lavables, amené ma maison vers plus de minimalisme, lu le livre de Béa Johnson et acheté local, bio, puis en vrac, d’occasion etc. La maison est presque ZD depuis trois ans. Pourtant, à AUCUN moment, je n’ai pensé aux conséquences de l’exploitation animale sur la planète, puisque j’achetais ma viande bio, locale et non-emballée.

        Puis, hasard heureux, au détour d’un livre de cuisine (omnivore), je tombe sur une recette végétarienne de Cléa. Je la réalise, c’est délicieux. J’achète donc son livre Veggie. Et là, l’introduction m’enlève le bandeau que j’avais sur les yeux. Je réalise que tous les petits gestes que je fais au quotidien (ne pas laisser couler l’eau, éteindre la lumière, etc) sont dérisoires par rapport à la pollution de l’élevage.

        Je me renseigne donc de plus en plus et, pendant 3 ans, je m’entraîne à cuisiner des plats végétariens, mais pas toute la semaine, parce que je ne suis pas sûre de mes connaissances en diététique et que j’ai peur de carencer mes enfants. En juillet dernier, je franchis le pas: ma maison est « végétarienne en route vers le véganisme ». Je dirais qu’aujourd’hui, mon alimentation est 50% végétarienne, 50% végane, et ma consommation autre qu’alimentaire est à 80% végane. Moi qui était au départ sensible à l’environnement, je suis maintenant à fond sur l’éthique animale (ce n’est pas exclusif, pourquoi ça serait exclusif ?).

        Aujourd’hui, rien n’est parfait, mais ma maison est quasi-zéro déchet ET bien en route vers le véganisme. J’ai mal quand je vois quelqu’un manger un giga-steak et m’expliquer qu’iel est sensible à l’environnement; mais j’ai aussi du mal avec certain·e·s (rares) véganes qui mangent du quinoa péruvien suremballé. Je crois qu’on peut faire les deux si on ne cherche pas la perfection absolue, et que le bilan final est plus positif.

        • 9

          Merci Am pour ton commentaire. Ton parcours est très intéressant dans ce sens là, et je dois dire que cela me rassure car je vois surtout le sens véganisme -> ZD (mais c’est probablement lié à mes cercles de proches où il y a plus de véganes que de ZD).

  4. 10

    Bonjour La Carotte 😉
    Je commence moi aussi cette démarche, mais n’en suis qu’au tout début du chemin. Comme toi, je trouve que véganisme et zéro déchet sont liés. C’est quand on commence à s’interroger sur ce qu’on mets dans son assiette que tout s’enchaîne !
    Ton article tombe à pic pour partager une expérience : je viens de changer de téléphone, pas le choix, l’ancien montrait vraiment des faiblesses et c’est un outil important pour moi au quotidien. Bref, je me mets en quête d’une coque de protection la moins néfaste possible et au fil de mes recherches, suis tombée sur une petit entreprise canadienne qui fabrique des coques compostables à partir de déchets de paille de lin! Je trouve génial qu’on commence à développer ce genre d’alternatives, d’autant qu’ils sont vraiment dans la démarche de réduire les déchets jusqu’au bout: pas de plastique d’emballage, envoyé dans une enveloppe compostable également et 1% for the planet. Je ne sais pas si je peux donner le nom: pela.
    Merci pour tes articles 🙂

    • 11

      Hello Emilie,
      Ah c’est super cette histoire de coque ! J’ai l’impression qu’il y a effectivement de plus en plus de ce genre d’initiatives, c’est encourageant! En tout cas bonne chance pour ta démarche 😉
      Aurélia

  5. 12

    Hello Aurelia, super article 🙂 Pour ton infographie j’ajouterais également qu’on peut réduire les emballages plastiques en faisant attention aux vêtements qu’on achète : en acheter moins et maximiser les vêtements d’occasion, ça évite les emballages individuels plastiques par t-shirt ou par petite culotte qui sont la norme des grandes enseignes de mode (véridique). Et pour la salle de bain pour ma part je ne me sépare plus de mes cotons démaquillants lavables… On avait fait un article dédié sur la salle de bains d’ailleurs si ça t’intéresse 🙂 https://www.nimportequoipourdesgensbien.com/experiences/un-peu-moins-dans-la-salle-de-bain Je te souhaite plein de réussite sur la route du zero waste!

    • 13

      Merci Jess! Oui carrément! J’ai aussi remplacé les cotons jetables par… un bon vieux gant ! J’avais testé les carrés démaquillantes de Lamazuna, et j’en avais été vraiment déçues, l’eau glissait sur le disque… Mais effectivement, ceux des tendances d’Emma que tu mentionnes ont l’air plus adaptés. Si je change ma routine gant, j’y penserais 🙂 (pour l’instant comme je me maquille très peu, j’en ai au final pas trop besoin). Par contre je me demandais: Géraldine dit utiliser du PQ plutôt que les carrés démaquillants, est-ce que c’est pas juste déplacer le problème du coup? (je sais pas du tout l’impact du PQ en termes de déchets, je crois que cela se dégrade effectivement assez rapidement).

  6. 14

    Chez moi aussi, véganisme et zéro déchet cohabitent.
    J’ai d’ailleurs confectionné mes produits d’entretien et de soins maison avant de devenir végane.
    L’avantage étant que la transition dans ce sens m’a semblé facile, mon environnement s’étant déjà déchargé de produits testés/issus d’animaux, ou nocifs pour eux (pollution).
    Disons que le combo paraît effectivement logique et utile quand on se soucie de la planète et de ses habitants 🙂

  7. 16

    Article très intéressant ! J’ai commencé à essayer de réduire mes déchets d’une façon relativement timide bien avant d’être végane, et en effet le veganisme m’a poussé à réfléchir plus sérieusement à cette question car les deux sont indissociables… Cela m’a aussi amené à une prise de conscience générale et donc à faire plus attention à tout ce que je peux acheter, que ce soit au niveau éthique ou écologique.

    • 17

      Je comprends tout à fait. Quand on commence à s’intéresser à l’impact de notre consommation, ce sont tous les aspects de notre quotidien qui y passe: quel fournisseur d’énergie choisir? quelle banque est la plus éthique? etc. Pour moi aussi le véganisme a été le début d’un questionnement global.

  8. 18

    Je suis en chemin aussi, j’ai pris des décisions essentielles depuis longtemps (plus de cotons jetables, cup, achats en vrac dès que possible) mais y’a encore du chemin, toujours du chemin !A Madagascar je m’en rendais encore davantage compte car là bas rien ou presque n’est recyclé…

  9. 20

    Les deux sont tellement liés ! Superbe infographie 😉
    Le véganisme est venu 1 an après le zéro déchet me concernant, c’était logique au final mener une vie liant les deux.
    3 ans de zéro déchet, 2 ans de véganisme et je n’ai jamais été aussi heureuse !

    • 21

      Merci Louise. Ah c’est intéressant ça: jusqu’à présent je n’ai eu que des témoignages de personnes qui avaient fait le chemin « inverse »: entrée par la porte du véganisme, ce qui les a conduit au zéro déchet. Je me demandais si justement au sein de la communauté zéro déchet, le véganisme était un sujet très abordé, qu’en penses-tu si tu as autour de toi d’autres « zéro déchet »?

      • 22

        en fait, pas trop. Suffit de voir dans la blogosphère. Certains grands manitous du ZD mangent encore de la viande (quand on sait que l’élevage produit 14 fois plus de gaz à effet de serre que les transports, c’est aberrant…).

        • 23

          Ben, si on s’en tient strictement à un point de vue environnemental, une faible consommation de viande ne me semble pas incompatible avec l’écologie / zéro déchet (j’en parle justement dans mon dernier article ;)). Ethiquement parlant, c’est autre chose bien sûr .. !

  10. 26

    Vive les infographies!
    Celle-ci est particulièrement géniale 🙂
    Comme d’autres l’on écrit avant moi, c’est le ZD qui m’a mené vers le véganisme.
    Je trouve que c’est un sujet un peu sensible dans la communauté ZD mais pourtant c’est complètement lié. Je dis sensible car j’ai plusieurs fois vu des conversations houleuses à ce propos sur des groupes FB ZD… Mais bon est ce que les groupes FB sont représentatifs de la communauté? Pas sûr !
    La plupart des compagnies proposant des produits ZD en France ou au Québec (là où j’ai commencé mes démarches vers un mode de vie plus éthique) sont tournées aussi vers le véganisme. C’est bien que les deux sont de la même trempes selon moi !
    Merci pour ton travail, toujours très précieux et bien documenté 🙂

    • 27

      Merci beaucoup Laura! (j’ai prévu d’en faire d’autres des infographies 😉 )
      Encore un témoignage qui va dans le sens du ZD vers le véganisme (j’ai surtout des exemples inverses comme le mien: du véganisme au ZD), ça me rassure, mais je me demande à quel point c’est représentatif ou non du mouvement ZD. Je te rejoins sur la non représentativité des personnes véganes ou ZD sur les réseaux sociaux (enfin je pense, ou plutôt j’espère..!)

  11. 28

    Bonjour, je tombe aujourd’hui, « par hasard », sur ton article, et comme toi mon cheminement, d’abord vegetarienne ilya plus de 25ans, puis végane depuis 2ans, m’amène naturellement vers le zéro déchet. Et je voulais signaler un livre qui m’y a beaucoup aidé: » j’arrête de surconsommer » par Marie Lefévre et Herveline Verbeken, aux éditions Eyrolles… Il m’a permis petit pas après petit pas d’être plus respectueuse de la planète et du coup d’être en accord avec moi même.
    En tout cas merci encore pour tes articles toujours très bien fait et qui ouvrent toujours un peu plus les consciences…

    • 29

      Merci Véronique. J’ai effectivement entendu bcp de bien de ce livre! Je ne ressens personnellement pas le besoin de le lire, étant déjà dans une demarche d’économie circulaire et de minimalisme, mais je connais bien des gens autour de moi à qui je suis sure qu’il ferait bcp de bien 😉

  12. 30

    J’ai beau être un homme, je me permet de donner une alternative à la coupe menstruelle suggérée par ma compagne. En effet, la coupe menstruelle présente des risques (autant que les tampons), à développer le syndrôme du choc toxique. Donc, dans une démarche zero déchets, l’alternative possible reste encore les serviettes en tissu lavables.

    Cordialement

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